Tu sais, Raymond, à la fin de la guerre ton père a dû une fière chandelle à son gazogène, me déclare Pierre JOUVE, un ami d’enfance, lors de notre dernière rencontre à Prades le Lez.
Alors là, je te suis mal. J’ai de nombreux souvenirs très vivaces de la période des années 1940-1945 mais j’avoue que je ne comprends pas.
Évidemment, tu ne pouvais pas savoir. Souviens-toi ! Votre camion avait très souvent beaucoup de mal à démarrer le matin. Tu en parles d’ailleurs dans ton récit relatif aux gazogènes.
Oh (...)