Il y avait à Alayrac, une merveilleuse petite chapelle romane, dont le toit de lauzes émergeait à peine des touffes de chênes verts. La porte d’ouvrait sur un jardin d’asphodèles et d’ iris nains. Fraîche, calme, fleurie de romarin et de genêts, les oiseaux venaient y chanter matines depuis que les derniers moines en étaient partis. Sous le sol de terre battue une tombe, celle d’une toute jeune fille, presqu’une enfant : Irène de Bibiourès . Son nom , son histoire sont gravés ici, au coeur de ce (...)