Peut-être plus qu’ailleurs, le feu dans la nature méditerranéenne est vécu comme un traumatisme, une catastrophe. Il est vrai que peu après l’incendie, un paysage calciné vide d’oiseaux et de fleurs n’est agréable ni au riverain, ni au promeneur, ni au naturaliste. Mais à moyen et long termes, quel est le bilan pour le milieu naturel ? Et que savons-nous des causes de ces incendies qui reviennent chaque été au-devant de la scène médiatique ? À défaut de solution, existe-t-il des moyens de contrôler les (...)