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samedi 29 octobre 2022, par ,
Ne tentez pas de le soigner vous-même. Pour agir, voici les 4 gestes primordiaux pour la vie de l’animal :
Plus vite il recevra un traitement approprié, meilleures sont ses chances de survie.
Si vous trouvez un animal blessé, après sa remise sur pieds, nous vous inviterons pour le relâcher (moment de bonheur…)
N’essayez jamais d’élever vous-mêmes de jeunes animaux
Placez l’oiseau à l’abri des dangers (chats, voitures…) le plus près de l’endroit où il est tombé, dans une boîte, sur une branche ou autre lieu élevé ; par les cris, ses parents le retrouveront pour le nourrir.
Les jeunes oiseaux emplumés pré-volants semblent « abandonnés », alors qu’ils sont suivis et nourris souvent par les parents.
Le Centre accueille au quotidien principalement des oiseaux sauvages blessés mais aussi de petits mammifères victimes de traumatismes physiques (accidents de la route, électrocution, tir de fusil, choc baies vitrées…) , d’intoxications par agents chimiques et biologiques (pesticides notamment), d’affections liées à la présence d’agents pathogènes (bactéries, virus, parasites) ou encore tombés du nid trop tôt.
Durant l’année 2010, plus de 250 animaux ont été réceptionnés et soignés..
La responsabilité du Centre de soins pour la faune sauvage « Garrigues-Cévennes » incombe à Marie-Pierre Puech (N° d’agrément 10-XIX-054) vétérinaire à Ganges et St Martin de Londres, présidente de l’association Goupil-Connexion.
La loi sur les animaux sauvages est très stricte (Loi N° 76-629 du 10 juillet 1976) :
Nul ne peut détenir ni soigner un animal sauvage hors d’un cadre très précis.Nous rappelons que personne ne peut s’inventer centre de soins, malgré toutes les bonnes volontés.
Vous voulez soutenir l’Hôpital Faune Sauvage - Goupil Connexion, participer, aider à son fonctionnement ?
Un grand merci pour votre soutien.
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